Voici ce que j'en ai après « eux »:
- mon dossier médical n'est pas informatisé et est disséminé à travers le Québec. Il ne me suis pas où que j'aille (sur une carte à puce, par exemple). De plus, chaque endroit me fait une carte, même aux urgences;
- il y a trop de paperasse à remplir,
- pour recevoir des traitements, il me faut un médecin de famille. Cette dernière se trouve à une place fixe;
- mes chiropraticiens (je déménage souvent!), mon médecin et mon dentiste ne se parlent pas;
- il faut que j'aille d'une clinique à un hôpital pour certains tests (plutôt que tout soit à la même place).
- que les alternatives aux contraceptifs chimiques soient plus disponibles. Les hormones féminines se retrouvent dans l'eau puis dans la nature puisque la plupart des systèmes de traitement des eaux au Québec ne peuvent les éliminer.
- le libre droit de disposer de mon corps comme bon je l'entends. C'est-à-dire me faire ligaturer les Trompes de Fallope, une contraception physique permanente qui a des chances d'échouer.
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